| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1818 - 682 páginas
...quelques faibles rayons de cette science qui s'échappaient , et les nuages se refermaient aussitôt. Le public , ou, pour mieux dire, le petit nombre de ceux qui aspiraient à la haute géométrie , étaient frappés d'une admiration inutile qui ne les éclairait... | |
| Charles Rollin - 1822 - 492 páginas
...quelques faibles rayons de cette science qui s'échappaient, et les nuages se refermaient aussitôt. Le public , ou , pour mieux dire, le petit nombre de ceux qui aspiraient à la haute géométrie , étaient frappés d'une admiration inutile qui ne les éclairait... | |
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1825 - 490 páginas
...quelques faibles rayons de cette science qui s'échappaient, et les nuages se refermaient aussitôt. Le public, ou, pour mieux dire, le petit nombre de ceux qui aspiraient à la haute géométrie , étaient frappés d'une admiration inutile qui ne les éclairait... | |
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1888 - 396 páginas
...quelques faibles rayons de cette science qui s'échappaient, et les nuages se refermaient aussitôt. Le public, ou, pour mieux dire, le petit nombre de ceux qui aspiraient à la haute géométrie, étaient frappés d'une admiration inutile qui ne les éclairait... | |
| Académie royale des sciences (France) - 1746 - 746 páginas
...quelques foibles rayons de cette Scien.ce qui s'échapoient, & les nuages, fe refernipieut, a,u£fi-tôt. Le Public, ou, pour mieux dire, le petit nombre de ceux qui aïpiroient à la haute Géométrie , étoient frapCZ. d'une admiration inutile qui ne les éclaiicit... | |
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