Histoire de François Premier, roi de France, dit le grand roi et le père des lettres, Volumen4Chez Saillant, 1766 |
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Página 113
... rendre dès le lende- main au plus tard , que le Marquis du Guaft n'arriveroit que dans trois jours ; il fe chargea de les faire inftruire de fon arrivée & de faci- liter leur retraite . Ce qu'il avoit pré- dit arriva , les affiégés ...
... rendre dès le lende- main au plus tard , que le Marquis du Guaft n'arriveroit que dans trois jours ; il fe chargea de les faire inftruire de fon arrivée & de faci- liter leur retraite . Ce qu'il avoit pré- dit arriva , les affiégés ...
Página 127
... rendre maître de du " Guaft & de fa troupe . » • L'offre étoit féduifante , un étour- di l'eût acceptée fans examen . Du Bellay fe contenta de louer fon zèle , d'approuver fon projet , de lui recommander fous peine de mort le filence ...
... rendre maître de du " Guaft & de fa troupe . » • L'offre étoit féduifante , un étour- di l'eût acceptée fans examen . Du Bellay fe contenta de louer fon zèle , d'approuver fon projet , de lui recommander fous peine de mort le filence ...
Página 137
... rendre pur & folide . Que mon » rival barbare fe foit plû à répan- dre le fang de fes fujets , à op- primer les malheureux Gantois » ce font - là des plaifirs dignes de lui ; il n'en eft qu'un pour moi , > celui d'avoir retrouvé vos ...
... rendre pur & folide . Que mon » rival barbare fe foit plû à répan- dre le fang de fes fujets , à op- primer les malheureux Gantois » ce font - là des plaifirs dignes de lui ; il n'en eft qu'un pour moi , > celui d'avoir retrouvé vos ...
Página 138
... rendre » à Dieu , qui nous a réunis , de « folemnelles actions de graces . » A ce difcours inefpéré , on juge quels tranfports d'admiration & de joie faifirent tous les cœurs , quel- les larmes de tendreffe coulerent de tous les yeux ...
... rendre » à Dieu , qui nous a réunis , de « folemnelles actions de graces . » A ce difcours inefpéré , on juge quels tranfports d'admiration & de joie faifirent tous les cœurs , quel- les larmes de tendreffe coulerent de tous les yeux ...
Página 145
... circonftance fut fçue des affié- gés , & ne contribua pas peu à les rendre fermes dans leur défense . La Tome IV . G 1543 . Mém . de du Bellay , 1. 10 , 1 1543 . jeune nobleffe dont le Dauphin étoit accompagné DE FRANÇOIS PREMIER . 145.
... circonftance fut fçue des affié- gés , & ne contribua pas peu à les rendre fermes dans leur défense . La Tome IV . G 1543 . Mém . de du Bellay , 1. 10 , 1 1543 . jeune nobleffe dont le Dauphin étoit accompagné DE FRANÇOIS PREMIER . 145.
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Términos y frases comunes
affez ainfi Ambaffadeurs Anglois auffi auroit avoient avoit bataille Belcar Bellay Bourbon Boutieres Briffac c'eft c'eſt c'étoit Carignan caufe cent Chancelier Charles Charles-Quint çois Commentar Comte d'An Comte d'Anguien Comte d'Aumale Confeil Connétable d'Annebaut Dauphin défenſe devoit Duc d'Orléans Duc de Cleves Duché Ducheffe Empereurs eſt Etats étoient étoit eût faifoit falloit fans feconde fecours felon fent feroit fervir feul fiége flotte foit Foix foldats fon fils fous Fran François fuccès fuivi fur-tout galères garnifon Gentil guerre Guife Henri VIII Impériaux Jean jufqu'à l'Amiral l'armée l'Em l'Empe l'Empereur l'Empire laiffer Landreci Lanfquenets Langei loix lorfque Louis XI Luxembourg Maifon Marquis du Guaft Martin du Bellay Mém Milanès mille Miniftres Monthelon Montmorenci mort n'avoit Navarre paffage paffer Paul Jove pereur perfonne Piémont plufieurs pofte pouvoient pouvoit prefque Prince puiffance refte reur Royaume Semblançay Sleidan Suiffes tion treve troupes vaiffeaux Vicomte de Narbonne vouloit ככ
Pasajes populares
Página 190 - ... il laissa bonnes garnisons et moien de les fortifier. Puis, à raison que l'intention du Roy estoit de remettre en ses mains Carignan , qui luy estoit une espine en son pied, attendu qu'elle tenoit toute la (0 François de Bourbon , sieur d'Anguien : il étoit frère d'Antoine de Bourbon , duc de Vendôme , depuis roi de Navarre ; de Louis I , prince de Condé ; du cardinal de Bourbon, que les ligueurs nommèrent roi; et de Jean de Bourbon, tué en 1 55"], à la bataille de SainKJucntin.
Página 73 - C'étoit le ruiner et le déshonorer, deux peines plus fortes que la perte de la vie. « Du moins , dit alors Chabot au roi , la rage de mes « ennemis n'a pu me convaincre d'aucune félonie en